Oui, c’est moi, là, presque sur le toit du monde.
Cette photo donne une petite idée d’au combien j’affectionne l’un des outils que j’utilise dans l’accompagnement que je pratique : la nature, l’air libre, revenir à l’essentiel, en marchant, en mangeant, en allant au contact des arbres, en méditant…
Revoir mon mode de vie et apprendre à vivre en conscience ont été les meilleures idées que j’ai eues !
Développement personnel, psychologie, contact humain… ces notions m’interpellent depuis mon adolescence dans ma quête de sens de la vie. Puisque chanteuse et comédienne « ne sont pas des métiers », que guide touristique « ne paie pas » et que vétérinaire implique « du courage », dixit mes parents, je prends la voie du commerce, non par envie mais pour suivre ma meilleure amie. Comble de l’ironie, elle n’est pas prise dans l’école où je commence donc seule ce chemin, dans un univers qui a la réputation de profiter de l’autre et non de le servir.
Je tente d’y trouver un sens et je réussis. Je prends des postes à responsabilité : responsable marketing, responsable de secteur puis directrice de jardinerie. La notion de service y semble présente, où satisfaire au mieux le client et accompagner les équipes dans leur évolution professionnelle a sa place. Mais comment servir avec justesse quand le résultat financier reste malgré tout l’aboutissement de la démarche ?
Tandis que ma vie de directrice perd son sens, je croise le chemin d’un magnétiseur humaniste, qui me dit, lors d’un échange informel « Mais tu es thérapeute, pas directrice de jardinerie ! » Je souris en me disant que je sais encore ce que je fais. Pourtant, je suis l’appel en allant voir un de ses collègues et je ressors bluffée par les séances. Il y a quelque chose à saisir là. Je décide donc de suivre le premier module de la formation auprès de Sébastien Berger, « pour voir ». Les portes s’ouvrent définitivement. Je me dis que, malgré mes difficultés quotidiennes, je trouverai le courage de me former en même temps que mon poste de directrice ! Alors je m’engage pour le deuxième module.
La même année, la direction d’enseigne propose à dix directeurs un accompagnement avec une naturopathe sur trois séances, dont la conclusion restera inchangée : « il faut vous arrêter, sinon vous allez droit au burn-out ». Ce serait donc ce fameux burn-out dont tout le monde parle, qui me pendrait au nez ? Il semblerait, car lorsque j’apprends que le second module de magnétisme humaniste est annulé, j’en suis sidérée et mes émotions s’emballent. « Qu’est-ce que je vais faire ? »
Comme la vie est bien faite, je m’étais renseignée sur les modalités d’intégration de l’école de naturopathie de Dijon, agréée par la Fédération des Naturopathes. La rupture de contrat avec mon employeur m’apporte le montant pour financer cette formation intensive. Lorsque je la termine, j’apprends que le magasin que je dirigeais ouvre son nouveau concept avec un espace bien-être où une naturopathe est recherchée ! Je postule, je suis embauchée et je me lance en parallèle dans mon activité libérale.
Indispensable à mon bien-être, faire bouger mon corps est un besoin vital qui a toujours existé.
Petite, je découvre la danse classique, le tennis, le volley-ball, le fitness, le modern jazz. Puis je cherche des sports à pratiquer en pleine nature, où chausser les baskets peut suffire : je rencontre la randonnée et la course à pied.
Ecrire : d’abord des poèmes, puis des histoires inachevées, jusqu’à participer à un concours littéraire. Ecrire fait partie de mon quotidien.
Jouer la comédie : le théâtre, l’improvisation et le clown. J’adore !
Jouer du clavier : enfant, j’appends le solfège puis à 14 ans, je choisis enfin mon instrument. La musique et les concerts sont une source de bonheur : du growl du metal à la voix magique de Dimash Qudaibergen, la liste des vibrations sonores qui m’animent est longue.
Chanter : première chorale et l’envie d’être chanteuse, mais ce n’est pas un métier. Alors je chantonne dans ma voiture. Et puis je rencontre Claire Callot et le Souffle-Voix. Révélation, bonheur extraordinaire de l’instant. Magique ! Et Rosemay Dauvin-Magnan, ma professeur de chant : je me révèle à moi-même.
Tout ceci mit bout à bout me permet aujourd’hui, par mon expérience, mes connaissances et mes compétences de vous accompagner sur ce chemin d’évolution où le renouveau, le renaître peut se réaliser, au contact de votre être profond.
Je m’engage à respecter la charte des Magnétiseurs Humanistes et à suivre 4 jours de supervision tous les 2 ans